A l’instar des organisations patronales, syndicales, entre autres, le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) demande le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.
Les vagues d’indignations contre le report de l’élection présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024 se poursuivent. Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) s’est joint au patronat, notamment à la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) et au Club des investisseurs sénégalais (Cis), à l’Ordre des architectes, l’Ordre des experts comptables et des comptables agréés (Onecca), entre autres, pour demander le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.
En effet, arguent Moustapha Diakhaté, Secrétaire exécutif, et ses camarades, « l’économie du Sénégal est structurée à 99% autour des Pme et Pmi dans tous les secteurs et sous-secteurs économiques, le digital dont les Tic y comptent pour 8% et apportent 12% au Pib pour 2500 milliards de chiffre d’affaires dont les télécommunications, l’équipement et la fourniture qui comptent pour 2000 milliards de Cfa et plus de 60 000 travailleurs. Depuis le Covid-19, le secteur du numérique et des Tic en général enregistre une croissance presque stationnaire autour de 4% ».
Et, soutiennent-ils, « le contexte politique que nous observons présentement accentue les risques et la fragilité qui vont impacter très négativement la survie des Pme et Pmi, et par conséquent la production globale du pays et la richesse générée ».
Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic implore ainsi « l’élargissement des entrepreneurs du numérique emprisonnés, en l’occurrence le fondateur et gérant de Koppar Express ».
Comme en 2011, le Restic « réitère son ancrage dans le tissu socio-économique du Sénégal et rappelle à nos autorités l’impératif de stabilité sociale et politique pour une économie qui vise l’émergence. La stabilité institutionnelle et politique est une condition pour l’essor de l’investissement indispensable dans notre secteur ». Diakhaté et ses collaborateurs font savoir que le Sénégal « a besoin de 400 milliards par an pour 15 ans dans les Tic pour sa mise à niveau et l’investissement en innovation d’où la stabilité qui attire les investissements directs étrangers et les fonds institutionnels ».
Plusieurs organisations sont montées au créneau pour exprimer leur vive préoccupation, suite au décret du président de la République portant report de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, et à l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi fixant la tenue de ladite élection au 15 décembre 2024.
Les vagues d’indignations contre le report de l’élection présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024 se poursuivent. Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) s’est joint au patronat, notamment à la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) et au Club des investisseurs sénégalais (Cis), à l’Ordre des architectes, l’Ordre des experts comptables et des comptables agréés (Onecca), entre autres, pour demander le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.
En effet, arguent Moustapha Diakhaté, Secrétaire exécutif, et ses camarades, « l’économie du Sénégal est structurée à 99% autour des Pme et Pmi dans tous les secteurs et sous-secteurs économiques, le digital dont les Tic y comptent pour 8% et apportent 12% au Pib pour 2500 milliards de chiffre d’affaires dont les télécommunications, l’équipement et la fourniture qui comptent pour 2000 milliards de Cfa et plus de 60 000 travailleurs. Depuis le Covid-19, le secteur du numérique et des Tic en général enregistre une croissance presque stationnaire autour de 4% ».
Et, soutiennent-ils, « le contexte politique que nous observons présentement accentue les risques et la fragilité qui vont impacter très négativement la survie des Pme et Pmi, et par conséquent la production globale du pays et la richesse générée ».
Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic implore ainsi « l’élargissement des entrepreneurs du numérique emprisonnés, en l’occurrence le fondateur et gérant de Koppar Express ».
Comme en 2011, le Restic « réitère son ancrage dans le tissu socio-économique du Sénégal et rappelle à nos autorités l’impératif de stabilité sociale et politique pour une économie qui vise l’émergence. La stabilité institutionnelle et politique est une condition pour l’essor de l’investissement indispensable dans notre secteur ». Diakhaté et ses collaborateurs font savoir que le Sénégal « a besoin de 400 milliards par an pour 15 ans dans les Tic pour sa mise à niveau et l’investissement en innovation d’où la stabilité qui attire les investissements directs étrangers et les fonds institutionnels ».
Plusieurs organisations sont montées au créneau pour exprimer leur vive préoccupation, suite au décret du président de la République portant report de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, et à l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi fixant la tenue de ladite élection au 15 décembre 2024.
Dialigué Faye
(Source : Le Quotidien, 13 février 2024)