Les commissions spécialisées de l’Assemblée Nationale ont approuvé lundi, à Luanda, le rapport d’avis commun pour l’adhésion de l’Angola au Manifeste de l’Alliance Smart Africa, qui vise à transformer le continent africain en un marché numérique unique.
Le manifeste, qui établit les avantages dans la mise en oeuvre des programmes de développement des technologies de l’information et de la communication dans la mobilisation des ressources financières des partenaires et du secteur privé, sera voté lors de la prochaine réunion plénière de l’Assemblée nationale prévue le 21 et le 22 mars.
La Smart Africa Alliance est une organisation non gouvernementale internationale, composée de pays africains qui adhèrent à son manifeste du 29 octobre 2013, par l’Union africaine, la Commission économique pour l’Afrique (CEA), la Banque africaine de développement (BAD), la Banque mondiale. (BM), l’Union internationale des télécommunications (UIT) et le secteur privé.
Il s’agit d’une plateforme qui facilite l’échange et la connaissance entre ses membres, visant à transformer le continent africain en un marché numérique unique et à accélérer le développement socio-économique durable, grâce à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication.
L’instrument juridique faisant référence à l’adhésion de la République d’Angola au Manifeste de la Smart Africa Alliance, signé le 29 juin 2022 par l’ancien ministre des Télécommunications, Technologies de l’Information et Communication Sociale, Manuel Homem, garantit à ses membres un meilleur accès aux services à large bande.
Demandes d’adoption de mineurs
Ce lundi également, les commissions spécialisées du Parlement ont approuvé, sans voix contre, trois demandes d’autorisation d’adoption des mineures Alice Maria, Isabel Kieza et Rafaela Alexandre Ferreira.
L’adoption est soumise à l’Assemblée nationale, car elle est sollicitée par des citoyens étrangers, conformément à l’article 204 du Code de la famille.
(Source : ANGOP, 18 mars 2024)